23 Juillet 99 ASHTAR
Traduction : Fransceca Weber
(Commentaire de Janisel) : Je donne toute cette leçon de la façon dont je l'ai reçue en channeling. Vous noterez qu'il y a des affirmations et des questions que j'ai posées à Ashtar pendant le channeling qui, pensons-nous Debbie et moi, doivent impérativement être incluses dans cette leçon; en effet, pour certains d'entre vous, ces questions se poseront à vous. Mes questions et commentaires sont identifiés par "Rosie". Mon nom de l'Ashtar Command est Shar-na-Rohs… et Ashtar m'appelle Rosie.)
ASHTAR : S'éveiller n'est rien de plus qu'un terme humain pour "permettre". Permettre est ce que tu es prêt à accepter dans ta vie à n'importe quel moment. C'est un bouton que nous souhaitons pousser. Quand tu commences à permettre, ces boutons n'ont plus guère d'importance. Donc, ce que nous allons faire, c'est pousser intentionnellement des boutons, car cela va accélérer puis renforcer le processus d'éveil. Lorsque vous "permettez" à certaines informations de surgir dans votre Etre, pendant le processus d'éveil, cela hiérarchise le processus d'éveil en étapes. Ainsi, nous avons des niveaux d'acceptation, des niveaux de permission. Ceci est l'objet de cette leçon. Permettre que de l'information se fasse jour en votre Etre à n'importe quel moment, c'est vous permettre d'accroître ce que vous saviez auparavant, de cerner ce que vous ne saviez pas auparavant. Récemment beaucoup d'informations ont été données vous permettant de savoir de qui vous pouvez accepter de recevoir de l'information. Ainsi, nous en ferons le sujet de notre première leçon.
Comment déterminez-vous qui vous apporte la meilleure information ?… avec la plus Haute vibration ?… ou comment savoir s'il y a quelqu'un là dehors qui a la plus Haute vibration ? Bon… nous allons retourner en arrière à des classiques établis il y a des milliers d'années. "Que ressentez-vous dans votre Cœur ?" C'est une question que la plupart des gens, de nos jours, ne peuvent même pas comprendre… que leur Cœur "ressent", que leur Cœur peut leur donner des réponses. Nous demandons que ceux qui désirent permettre à ces leçons de toucher leur Cœur, commencent par apprendre comment écouter leur Cœur. Voici des exercices pour apprendre comment accepter la Vérité. Apprenez la "l'Accent de la Vérité"... apprenez à ressentir comme Vérité ce que votre Cœur dit être Vérité. Ceci est facile. Vous faites comme si c'était difficile.
ROSIE : Non… je pensais juste que c'était la même chose que le discernement.
ASHTAR : Evidemment que c'est la même chose, c'est juste un autre mot. Donc…des exercices. Voici une liste de questions pour les Êtres qui "autorisent" que cet éveil se produise dans leur vie… qui se posent des questions sur eux-mêmes… pour trouver leur propre Accent de Vérité.
QUESTION N° 1
Comment VOUS, honnêtement, vous jugez-vous vous-même ?
C'est une question très complexe… On nous dit, n'est-ce pas, de ne pas juger ? Et maintenant cet Être leur demande de se juger eux-mêmes ? La réponse, vraisemblablement, est dictée par la "culpabilité". Non ? Ou par la "joie". Non ? Ce sont des réponses que votre Cœur vous donne qui vous aident à déterminer votre Accent de Vérité. Cependant…
QUESTION N° 2
Si vous ressentez de la "culpabilité" en faisant quelque chose, quelles sont les règles qui vous l'ont imposée ?
Cette réponse peut se décomposer en plusieurs parties. Il y a la culpabilité "sociale"… des structures imposées par votre société. Il y a la culpabilité "religieuse"… que votre religion vous a imposée. Il y a la culpabilité "familiale"… des schémas imposés par votre propre famille. Bon, on s'arrête… et on écoute.
QUESTION N° 3
Qui a défini "ses" critères pour la culpabilité ?
Si vous ressentez la culpabilité que la société dit que vous devez éprouver, qui, dans la société, a établi les limites pour cette culpabilité ? Si vous ressentez la culpabilité que la religion vous a imposée, qui a établi les critères de cette culpabilité ?
QUESTION N° 4
Une fois que vous avez décidé qui a établi les schémas des limites de cette culpabilité, alors… qui dit que vous devez les accepter ?
La réponse à la question N° 4 ne peut être trouvée que si vous vous "autorisez" à vraiment regarder dans votre Cœur pour trouver cette réponse.
Si votre Cœur vous dit autre chose que "culpabilité"… et j'utilise la culpabilité comme indicateur, car c'est en général le plus grand arbitrage que les gens utilisent … alors cherchons quelque chose qui apparaît LE MOINS: "Acceptation". Oui ? Vous pouvez maintenant vous poser ces questions concernant l'acceptation. Ceci vous aidera à trouver votre Accent de Vérité, car lorsqu'un être peut accepter chacun de ses actes, qu'il soit considéré comme bon ou mauvais, par la société, par la religion, par la famille, n'est-ce pas "permettre" à un Niveau plus Elevé ?
Si une personne, par exemple, se saoule, conduit une voiture et tue quelqu'un, ne va-t-elle pas se sentir coupable ? Certains diront, "Nous l'espérons !". Cependant, n'y aurait-il pas la possibilité qu'elles aient été "autorisées" à aider cette personne à remplir son contrat au Niveau le plus Elevé, en les plaçant dans des circonstances qui les poussent au-delà de leurs limites pour leur permettre d'être utilisées dans ces circonstances ? Ceci est "autoriser". Et il y a des moments et des circonstances où les choses sont manipulées d'En Haut, pour permettre justement que ces choses arrivent. Poussons encore un peu plus loin. Disons qu'un enfant est battu violemment, et l'enfant hait cette personne qui le frappe, et la déteste au-delà de toute imagination, car elle lui inflige des douleurs à un niveau qui non seulement l'avilit lui, mais, à son avis, aussi tous les autres. Puis, celui qui manie le fouet meurt. Peu importent les circonstances. Cet enfant, en totale et complète innocence, ressent de la culpabilité car il a pu souhaiter la mort de cette personne. Est-ce que cet enfant ne reconnaît pas sa propre puissance… ressentant des émotions SI puissantes qu'elles peuvent causer la mort de quelqu'un ? Ainsi, nous ne cherchons pas à "supprimer" la culpabilité, mais à "transformer" la culpabilité en quelque chose que l'on peut considérer comme un miroir… la vraie reconnaissance de "Qui" il est réellement. Cela vous semble confus ?
ROSIE : Cela allège la culpabilité ?
ASHTAR : Les "limites" de la culpabilité. Je ne dis pas de prendre ton véhicule en état d'ivresse et de tuer des gens avec ta voiture… ou de souhaiter la mort de quiconque t'a causé du tort. Ce n'est pas du tout de ça qu'il est question. L'idée de tout ce scénario est de vous permettre de voir le miroir que vous êtes pour vous-mêmes par les schémas qui vous ont été imposés, que vous le vouliez ou non. Prenez un adulte qui a bu et qui tue quelqu'un avec sa voiture, et prenez un enfant… tout innocent, qui a très peu vécu de choses dans ce monde, cela suppose la même culpabilité. Il y a une connexion entre ces deux-là. Les connections n'ont absolument rien à voir avec les structures que la société leur a imposées. La connexion concerne les structures que chacun d'eux a "autorisées" dans sa vie. Ainsi cet enfant, qui voit le bien et le mal, et qui identifie le mal avec celui qui l'a battu, voit un miroir de sa propre souffrance… faisant de la souffrance le mal, qui à son tour fait de la personne qui manie le fouet le mal personnifié.
Maintenant… prenons celui qui conduisait la voiture qui a tué cette personne. Il se sent coupable, parce qu'il a tué quelqu'un. Qu'en serait-il si ce quelqu'un était la personne la plus malfaisante de cette planète ? Se sentirait-il mieux ?
ROSIE : Certains pourraient s'en servir comme "justification".
ASHTAR : Mettez-vous dans cette situation. Si vous étiez l'instrument du décès de quelqu'un, avec la culpabilité d'avoir été ivre en conduisant la voiture, cette culpabilité serait-elle annulée par le fait que cette personne était bonne ou mauvaise ?
ROSIE : Non, c'est quand même une vie.
ASHTAR : C'est quand même une vie. Et la vie est précieuse. Tout ce que nous enseignons ici, c'est "autoriser". Si ceci est quelque chose qui est arrivé... cela DEVAIT arriver.
ROSIE : Alors, il n'y a PAS d'accidents ?
ASHTAR : Il y a certainement des "accidents"… mais pas en ce qui concerne la mort. Je dirais que, en ce qui concerne la mort accidentelle (dans votre esprit), ce serait comme une anicroche dans le Plan Divin, la Directive Primaire . Je suppose que, en de rares cas, cela pourrait se produire, dans un cas sur 300 billions. Il n'y a pas d'accidents en ce qui concerne la vie et la mort. Tout d'abord… il n'y a pas de mort… juste le passage d'une porte, mais cela DOIT se produire quand c'est le moment.
ROSIE : On m'a demandé aujourd'hui si une personne peut ascensionner avant la fin de son contrat.
ASHTAR : Il n'y a pas un seul Etre sur cette planète, en ce moment, qui CONNAISSE les circonstances de son contrat véritable. C'est pourquoi, lorsqu'ils ascensionnent, c'est TOUJOURS au moment parfait. Pour pouvoir ascensionner, tu dois atteindre un but. Ce but peut être atteint sur un chemin de 10 millions de pas, ou alors en un seul pas. VOUS êtes le seul à pouvoir déterminer combien de pas vous devez faire pour y arriver. Ainsi, pour l'ascension, c'est VOTRE choix. Nous espérons, nous prions, nous faisons tout ce que nous sommes autorisés à faire pour que vous y arriviez en faisant le moins d'étapes possible, mais vous avez ce choix de le rendre aussi long qu'il est nécessaire pour vous. Maintenant, veuillez bien noter que je n'ai pas dit "aussi FACILE que possible"… juste aussi DUR que c'est NECESSAIRE pour vous. Dès que cela se produit, c'est le moment parfait.
ROSIE : Donc, cela n'a pas vraiment à voir avec le fait que votre contrat soit rempli ou non.
ASHTAR : Le contrat, en fin de compte, est pour votre ascension, non ? Supposons que, dans votre contrat, vous avez accepté avant de venir vivre cette vie, de venir aider un million d'Êtres dans leur processus d'ascension. OK ? Vous pouvez le faire pour un Être à la fois, avec le réseau internet, ou vous pouvez le faire pour des groupes de 10, 20 en donnant des cours ou… voyons… peut-être que vous pourriez aller… hmm… au Super Bowl (célèbre championnat de Football aux USA NDT) que des millions de gens regardent à la télévision… et ascensionner… et des millions de gens le verraient.
ROSIE : Bon… je n'ai jamais, consciemment et en 3D, vu un contrat…
ASHTAR : Personne n'en a jamais vu.
ROSIE : … donc, je ne sais pas tout ce qu'il contient… ce que nous sommes supposés être. Je ne sais pas s'il contient le temps. Comment pourrait-il indiquer à quel moment tu ascensionnes ?
ASHTAR : Ce n'est pas le cas. Il n'y a pas de "temps" où le contrat est "conservé". Là où le contrat est "conservé - car il est gardé en grande "sécurité" - est un endroit où il n'y a pas de temps, pas d'âge et pas de dimension. Ce n'est pas un bout de papier avec des signatures. Il est dans le battement du Cœur du Créateur. C'est cela votre contrat. En ce qui concerne les conditions du contrat, c'est différent. Concernant VOS conditions, SES conditions (invitée), et SES conditions (chien), et les conditions de contrat de cette personne-ci (Deb), tous ces autres là dehors, c'est CELA que nous appelons la Directive Primaire. Vous en avez entendu parler, non ? Donc… vous avez accepté de venir ici, et même d'aider d'autres personnes qui ont accepté de venir ici. Au fond, il n'y a pas un seul Être sur cette planète qui n'ait accepté de venir ici. Personne n'a été traîné de force dans cette époque, ce temps, cette dimension et cet Être. Tout cela a été mis au point avant que chacun de vous ne vienne ici, dans les limites de ce que VOUS avez accepté que vous accompliriez comme service. Certaines choses surviennent parce que vous avez votre libre-arbitre et elles peuvent, dirons-nous, être parfois "renégociées", n'est-ce pas ? Ainsi, lorsqu'elles sont renégociées, la Directive Primaire s'adapte. Cela se ressent. Nous n'avons pas nécessairement besoin de venir, tapoter votre épaule et dire "Janisel a décidé de prolonger son contrat de trois ans, et cela signifie que VOUS avez l'obligation de prolonger VOTRE contrat de dix ans". Ce n'est pas ainsi que cela marche. Comment pourrais-je expliquer cela…? Le cœur qui bat dans votre corps (Janisel) est le même que celui qui bat dans le vôtre (invitée). Si votre cœur (Janisel) manque un battement, VOTRE cœur (invitée) manque un battement. C'est ainsi que fonctionnent les modalités du service. Vous le ressentez, parce que vous (Janisel) êtes une partie de ce dont VOUS (invitée) êtes une partie. Cela a-t-il du sens ? C'est simplement que VOUS, en ce moment, n'avez pas tellement l'habitude de "ressentir" les subtilités du Vrai Sentiment que nous éprouvons. Donc… c'est ce que nous exprimons par "se rapprocher de la Source". Ce que vous éprouvez maintenant est tellement grossier en regard de ce que vous allez éprouver… "très bientôt" (sourire). Car ce que vous ressentez maintenant est comparable à la différence entre un enfant qui vous embrasse là (joue), ou votre amoureux qui vous embrasse là (lèvres). Le premier vous est doux, et l'autre, vous pouvez le ressentir jusqu'au tréfonds de votre Être. Non ? Ceci est la différence entre "ressentis". Vous ressentez à un niveau beaucoup plus excitant où vous allez. C'est vraiment ce QUE vous ÊTES. C'est être avec quelqu'un et SAVOIR, simplement en étant dans son voisinage, s'il souffre, savoir s'il est heureux, savoir s'il ressent de la frustration, savoir s'il se sent aimé… sans la façade de ce choix de libre-arbitre de permettre à autrui de savoir ce que vous ressentez. C'est une liberté. C'est une forme de communication.
ROSIE : Je sais. Et vous vous étonnez pourquoi chacun a tellement hâte de retourner à la Maison ?
ASHTAR : Ah… mais ne devez-vous pas passer votre examen final avant d'être diplômé ?
ROSIE : Oui.
ASHTAR : Ceci est la première leçon. Ceci est la leçon où l'on enseigne comment "ressentir" ce que vous ressentez. Car, si vous arrivez à ressentir comment VOUS ressentez, alors peut-être… peut-être… vous pourrez comprendre ce qu'un autre ressent.
ROSIE : C'est très difficile pour les humains de savoir en permanence ce qu'ils ressentent. C'est difficile de se connecter au Cœur.
ASHTAR : Vous voyez… vous vous vous élevez d'un état où vous vous donnez l'autorisation de ressentir ou ne pas ressentir… à un état de… "grand soupir d'extase".
ROSIE (qui rit) : Oui. <SOUPIR>.